Le saviez-vous ? La majorité des acquéreurs font face à de mauvaises surprises

 Si les mauvaises surprises les plus courantes sont en général liées à des vices cachés ou à des charges trop importantes, l’environnement, et notamment la pollution sonore, constitue le quatrième facteur de désillusion pour les nouveaux acquéreurs

En 2022 Qualitel a réalisé en partenariat avec l’Ipsos, une enquête auprès des propriétaires, afin d’évaluer leur satisfaction suite à leur acquisition. Les résultats sont sans appel : selon le baromètre Qualitel, 44 % des propriétaires souhaitent changer de logement dont 28 % à court ou moyen terme. 

Les cinqs mauvaises surprises les plus récurrentes sont : le froid l’hiver, suivi du bruit des voisins, de la chaleur l’été, sans oublier le bruit de la rue, et les dépenses générées par le logement. 

Si le voisinage relève de la loterie, voire de la roulette russe, l’environnement reste un élément duquel il est possible de rester maître grâce à une réflexion éclairée. 

L’emplacement, l’emplacement, l’emplacement 

Il s’agit de la règle d’or de l’immobilier ! 

L’emplacement est crucial, c’est l’élément qui va rythmer votre nouvelle vie alors c’est une donnée non négligeable dans votre prise de décision. 

A noter également, que l’on parle de région, de zone urbaine ou de la configuration d’un terrain, l’emplacement peut impacter jusqu’à 20% la valeur d’un bien. 

On concède sur les prix mais pas sur la qualité de vie 

Une grande partie des interrogés admet également avoir fait des concessions au moment de l’achat. Que ce soit en termes de budget, de superficie ou de configuration. 

En revanche, si il y a bien un élément avec lequel il est plus difficile de composer, c’est un environnement qui ne nous correspond pas. 

Le Conseil GoodPlaceto.Live

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